Un souffle intérieur fend la nuit.
Au centre, une lueur rose et orangée pulse comme un cœur préservé — fragile, mais intact.
Autour, le noir s’épaissit, formant une carapace. Non pas un mur, mais une peau née de la rue, du temps et des blessures.
Pablito Mourer explore ici l’idée d’une lumière intime que rien ne peut éteindre : celle qui persiste au milieu du chaos, discrète, mais essentielle.
L’œuvre respire le silence avant la renaissance — la chaleur d’un centre encore vivant sous la croûte du monde.
Entre ombre et apaisement, Luz Divina évoque la part de nous qui demeure, même quand tout semble s’effondrer.
Luz Divina
Street Culture
Tableaux
Mixte
Peinture
Expédition : 1 à 2 semaines
54 x 73 x 2 cm
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Détails
Création
Œuvre originale
Signature
Œuvre signée à la main
Authentification
Certificat d'authenticité de la galerie / Facture de la galerie
Technique
Support
Toile sur chassis
Encadrement
Caisse américaine noire
Dimensions (Hauteur x Largeur x Profondeur en cm)
Œuvre nue : 54 x 73 x 2
Œuvre encadrée : 60 x 80 x 3
À propos de l'oeuvre
À propos de l'artiste

france, Colombie
Il y a chez Pablito Mourer quelque chose de viscéral.
Issu du graffiti parisien des années 90, il a grandi dans ce tumulte d’encre et de métal où les murs servaient à exister. Membre des légendaires ObKoS, il a forgé son identité à coups de nuits blanches, de chrome et de courses sur les toits. Cette école de la vitesse et du risque a façonné un geste sûr, presque instinctif — une manière de peindre avec l’urgence d’un battement de cœur.
Puis un jour, la bascule : la Colombie.
Le retour à la terre d’origine, aux fêtes, aux visages éclatants, à la poussière rouge et au soleil cru. Ce déplacement n’a pas effacé le graffeur, il l’a transfiguré. La rigueur des lettres a cédé la place à un dialogue plus libre entre le trait et la couleur. Le bitume est devenu peau, le mur s’est fait chair.
Aujourd’hui, Pablito peint comme on respire. Il assemble le spray, l’acrylique et le pinceau dans un même souffle. Ses toiles vibrent d’un rythme intérieur, d’une tension entre l’Europe et l’Amérique latine, entre le souvenir du métro et celui de la jungle.
Un art de la mue, où chaque œuvre semble raconter le passage d’un monde à l’autre — sans jamais renier ses origines.



























