ROKO
Réunion
Graffiti Cubique
Peinture
Bombe et Acrylique
ROKO, artiste contemporain issu du milieu du graffiti à La Réunion, développe un style unique entre cubisme contemporain et street art.
Diplômé de l'ILLOI (Institut de l'Image de l'Océan Indien), son parcours artistique est marqué par une exploration constante de l'image, des formes et des messages percutants.
En 1997, à l'ILLOI, il entame une formation complète en animation, scénario, 3D, effets spéciaux et peinture pour films d'animation.
Après avoir obtenu son diplôme européen, il affine son approche à Angoulême et en Belgique, perfectionnant son art du dessin et sa maîtrise des techniques visuelles.
En 2000, il commence sa carrière professionnelle au Studio Pipangaï, où il travaille comme infographiste et décorateur de séries animées pendant deux ans. En 2003, il signe une fresque monumentale sur le Théâtre de Champ Fleuri, un des hauts lieux culturels de Saint-Denis.
C'est aussi à cette période qu'il rejoint le LSA CREW, avec qui il réalise de nombreux projets.
En 2019, il participe à l'ouverture du Festival Réunion Graffiti aux côtés de Konix et Eko, consolidant sa place dans le monde du graffiti sur l'île.
En 2023, ROKO atteint une reconnaissance internationale.
Il est invité à la « 9e Humanities and Arts Week » en Chine, où ses œuvres sont exposées au Gansi International Art Center à Jiaxing et à Shanghai dans le bâtiment de la culture à Hangzhou.
Il est également sélectionné pour réaliser une toile sur le thème de la paix et de la justice pour la COP 28, avec une exposition prévue à Dubaï en décembre 2023.
Chaque projet enrichit son style et renforce son engagement.
En 2024, il multipliera les événements : exposition en mars à la Galerie Nout Kaz à Paris, conception du trophée Exo FM en juin, exposition en Malaisie pour le Art Bridge International en juillet, et en octobre, des œuvres sur le harcèlement scolaire et la Campagne Octobre Rose contre le cancer du sein.
ROKO, toujours porté par son art, affirme : « L'art, c'est ma vie. Si je ne crée plus, je meurs. »