Cette œuvre fait partie de la série Monarchie / Anarchie, dans laquelle Beus explore les tensions entre pouvoir et vulnérabilité, héritage et révolte, apparat et identité.
Réalisée au stylo BIC, chaque pièce cultive l’ambiguïté, l’interprétation multiple, et invite à un regard lent, attentif.
Rien n’est livré frontalement. Les symboles glissent, les figures se dérobent.
À chacun d’y projeter sa propre lecture.
Figure féminine insaisissable, entre lutte et lassitude. Les tatouages racontent une autre histoire : celle d’une révolte silencieuse, intime, indélébile.


















































