Dans cette série récente, Maxime Andriot approfondit son approche du pop art en jouant sur des matières brutes : lames de bois, structures évoquant un béton arraché, ferrailles en relief. À ces supports volontairement rugueux s’ajoutent des découpes laser précises, des éléments superposés, et une peinture toujours aussi directe. L’artiste poursuit son dialogue entre culture populaire, références françaises et imagerie mondiale, avec une écriture graphique de plus en plus affirmée. Chaque œuvre capte l’œil par sa clarté, son impact et son équilibre entre brutalité du fond et finesse du geste.
Un visage féminin frontal, ancré dans le bleu blanc rouge. Maxime Andriot donne à Marianne une intensité graphique et une force tranquille.