Deux noms. Une seule tension.
Il y a Steve Pitocco, l’artiste du mouvement suspendu.
Il peint sans toucher. Son pinceau est relié au corps, jamais à la main. Chaque œuvre est une trace physique, née du déséquilibre et du contrôle. Sa technique du "Filing" est unique, précise, libre.
Il peint sans toucher. Son pinceau est relié au corps, jamais à la main. Chaque œuvre est une trace physique, née du déséquilibre et du contrôle. Sa technique du "Filing" est unique, précise, libre.
Et puis il y a Kœurélé, son double.
Issu du [graffiti], il dessine des [cœurs ailés], des gestes urbains, bruts, portés par la nuit.
Issu du [graffiti], il dessine des [cœurs ailés], des gestes urbains, bruts, portés par la nuit.
Deux écritures. Deux mondes.
Mais un même regard : instinctif, organique, sans filtre. Son travail a séduit des marques comme Reebok, Dunhill ou Casio. Il a peint pour des lieux, des murs, des gens. Il a signé des toiles et des campagnes. Et récemment, il est entré à La Défense, dans l’exposition géante du Zoo Art Show. Toujours entre présence et effacement. Entre galerie et bitume. Ce n’est pas un concept. C’est une nécessité. Pitocco et Kœurélé sont les deux polarités d’un seul artiste, pris entre l’élévation et l’impact. L’un explore le silence, l’autre l’adrénaline.
Leurs lignes se parlent, se croisent, se contredisent.
Et au milieu… une ligne qui n’existe que pour être franchie !
Et au milieu… une ligne qui n’existe que pour être franchie !




































